Profitant le week-end dernier de l'aimable compagnie de deux visiteurs d'origine normande, j'ai pu pratiquer avec délectation divers jeux récemment acquis. Aurélien venu nous préter main forte a alors proposé innocemment dans la fin de soirée un petit Diabolo. Après quelques explications concises de maître Aurélien, les deux novices étaient fin prêts. Ils se focalisèrent alors avec un entrain non dissimulé sur un des aspects de ce jeu : le pourrissement des couleurs. Tant et si bien, qu'à chaque ronde, chacun des joueurs recevait sa nouvelle moisson de points négatifs. Rien ne semblait arrêter la lente chute continue vers les abimes des scores abyssaux. Mais au dernier moment, maître Aurélien parvient seul à se soustraire à la damnation en remontant (miraculeusement ?) à +3...
Chapeau bas, maître Aurélien, et priez pour nous, pauvres losers...